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Un cougar tue un homme en Californie, 1ère attaque fatale en 20 ans

A quatre mois des Jeux olympiques, la France est en alerte maximale face à la menace d’attentats, après l’attaque de Moscou menée, selon Emmanuel Macron, par une « entité » du groupe « Etat islamique » à l’origine de « plusieurs tentatives » récentes sur le sol français.

Alors qu’il s’apprête à organiser cet événement sportif planétaire à Paris du 26 juillet au 11 août, le gouvernement français, dont la sécurité était déjà une préoccupation majeure, veut montrer qu’il prend la menace au sérieux, tout en rassurant sur sa capacité à la maîtriser.

La police, la gendarmerie et les renseignements français « seront prêts » pour assurer la sécurité des Jeux, a affirmé lundi le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.

L’exécutif a décidé dimanche soir, à l’issue d’un Conseil de défense à l’Elysée, de relever le plan Vigipirate à son niveau maximal, « urgence attentat », un peu plus de deux mois seulement après l’avoir abaissé d’un cran.

Des « menaces »

Le Premier ministre Gabriel Attal a invoqué « la revendication de l’attentat » qui a fait 137 morts vendredi soir dans une salle de concert près de Moscou « par l’Etat islamique », ainsi que « des menaces qui pèsent » sur la France.

Deux projets d’attentat ont été « déjoués » en France depuis début 2024, a annoncé lundi le Premier ministre lors d’une visite dans une gare parisienne. « La menace terroriste islamiste est réelle, elle est forte » et « elle n’a jamais faibli », a-t-il ajouté.

L’attaque de Moscou a rappelé aux Français celles menées en novembre 2015 par des commandos de ce même groupe jihadiste contre le Bataclan, en plein concert, ainsi que contre des terrasses de café parisiennes et le Stade de France, faisant 130 morts au total.

En Russie, c’est la branche afghane de l’organisation, Etat islamique au Khorassan (EI-K), qui est la première suspecte pour les experts du terrorisme mondial, même si le président russe Vladimir Poutine a lui pointé une responsabilité de l’Ukraine.

Les « informations » dont « disposent » les services de renseignement français comme celles de leurs « principaux partenaires indiquent en effet que c’est une entité de l’Etat islamique qui a fomenté cet attentat et l’a mis à exécution », a déclaré lundi le président Macron à son arrivée en Guyane pour une visite de deux jours.

« Instrumentalisation »

Il a mis en garde Moscou contre « toute instrumentalisation » ou tentative « d’utiliser ce contexte pour…

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