Le président William Ruto a récemment annoncé lors du premier Sommet africain sur le climat à Nairobi que le Kenya envisageait de dispenser de visa les voyageurs de tous les pays. Cette mesure, qui vise à faciliter les déplacements internationaux, a été accueillie avec enthousiasme par de nombreux acteurs du tourisme et de l’économie.
Le président Ruto a souligné l’importance historique du Kenya en tant que berceau de l’humanité. Il a rappelé que des scientifiques, dont lui-même, ont découvert et localisé les premiers fossiles humains dans la région d’Olorgesailie, il y a entre 1,2 million et 490 000 ans. Selon lui, le Kenya est le lieu où l’humanité a commencé, et il est donc injuste de demander un visa à quiconque rentre chez lui.
Depuis septembre 2022, le président Ruto a déjà levé les restrictions de visa pour plusieurs pays, notamment l’Erythrée, les Comores, la République démocratique du Congo et l’Indonésie. Cette nouvelle annonce va encore plus loin en proposant de dispenser de visa tous les voyageurs étrangers venant de tous les pays.
Cette mesure pourrait avoir un impact significatif sur le tourisme au Kenya, en attirant davantage de visiteurs étrangers. Elle faciliterait également les échanges commerciaux et les investissements internationaux. Cependant, il est important de noter que des mesures de sécurité appropriées seront mises en place pour garantir la sûreté et la sécurité des voyageurs.
Le président Ruto a clairement exprimé sa volonté d’accueillir les voyageurs du monde entier et de faire du Kenya une destination ouverte et accueillante. Cette initiative audacieuse pourrait renforcer les liens entre le Kenya et les autres pays, favorisant ainsi le développement économique et culturel.
La proposition du président William Ruto de dispenser de visa les voyageurs de tous les pays est une décision ambitieuse qui pourrait avoir un impact positif sur le tourisme et l’économie du Kenya. Cela témoigne de la volonté du pays d’ouvrir ses portes au monde entier et de renforcer les relations internationales.
