Le Ministre de la Communication et Porte-Parole du Gouvernement camerounais a vigoureusement réfuté les allégations diffusées par certains médias et sur les réseaux sociaux, selon lesquelles il aurait émis des avertissements contre l’utilisation de l’expression « Il y avait quoi avant », sous peine de poursuites judiciaires pour divers motifs.
Dans un communiqué officiel, le Ministre de la Communication a catégoriquement nié ces affirmations fallacieuses, les qualifiant de désinformation portant préjudice à sa personne et aux valeurs fondamentales du journalisme. Il a tenu à rappeler que ses déclarations officielles sont soigneusement organisées et diffusées à travers les canaux de communication gouvernementaux, et qu’il n’a jamais proféré de telles menaces.
Le Ministre a également exhorté les professionnels des médias à respecter scrupuleusement les normes éthiques et déontologiques dans leur traitement de l’information. Cette affaire souligne l’importance cruciale de la vérification des sources et de la lutte contre la propagation des fausses nouvelles au Cameroun et dans le monde entier.
À l’ère de l’information numérique instantanée, il est impératif que les médias et les citoyens fassent preuve de vigilance et d’esprit critique face aux rumeurs et aux informations non vérifiées. Le Ministre a réaffirmé son engagement à promouvoir une information fiable, transparente et responsable, soulignant le rôle crucial des médias dans la sensibilisation du public aux enjeux de la désinformation et dans la promotion d’un journalisme de qualité.
En appelant à la préservation de l’éthique journalistique et à la lutte contre les fake news, le Ministre de la Communication a souligné son engagement envers le renforcement de la démocratie et du développement du Cameroun, tout en invitant chacun à jouer un rôle actif dans la préservation de l’intégrité de l’information.
